mardi 29 avril 2008

080429 NOUVEAU PROGRAMMES POUR LE PRIMAIRE

Le discours de présentation, X. Darcos

Projet de programmes de l'école primaire : texte élaboré après consultations

Lire le projet de nouveaux programmes>>>

SEMAINE 28 / mardi 29 avril 2008 (JPP)

- écriture : sur le cahier de classe "H - Henri - Hanoï"
La semaine prochaine nous passons à notre 3è cahier de classe en réglure séyès (déjà connue grâce au cahier de texte où nous copions les devoirs du soir).

- lecture Cuissart :

- maths : fichier page 111 "Fais le point (8)"


- cahier de classe : frise
+ dictée :
"la chèvre broute le pré."

+ analyse : "la chèvre frappe le tambourin."

+ copie : n° 3 page 25 dans Cuissart


- lecture courante : Delile page 71 "la chèvre savante", d'après Victor Hugo, Notre Dame de Paris.


- arithmétique Lemoine, page 50, n°2 et 4, + les deux problèmes

- natation : 3 groupes de piscine (Valérie, Michel, Alexis)

- récitation individuelle : PRINCESSE DE LA NUIT

- divers : nous avons fêté l'anniversaire de Vincent (7 ans)

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TRAVAIL EN FAMILLE
"Pont" du 1er mai —> reprise des cours lundi 5 mai
pour lundi 5mai 2008 (avec FL)
- lecture Cuissart pages 26 et page 27
- dictée : "Blanche a oublié son cartable à la source du grand fleuve
- maths : page 112 "jeux, puzzle de l'âne"

pour mardi 6 mai 2008 (avec JPP)

- poésie à apprendre, entière

Jouons à Guignol.

Petit Jean dit à petit Paul :
"Nous allons jouer à Guignol ;
Moi je ferai le commissaire.
Et toi tu seras le brigand ;
Je me charge de ton affaire,
A coups de bâton, pif, paf, pan !"

Mais Paul répond : "Polichinelle
Sera bien mieux joué par toi..."
Et là-dessus grande querelle.
"Toi le brigand ! ... - Non, non pas moi !"

Un passant leur dit : "Quel tapage !
Pourquoi crier à rendre sourd ?
Soyez donc - c'est un moyen
sage -
Brigand chacun à votre tour."

Paul Lheureux

lundi 28 avril 2008

Semaine 28 / lundi 28 avril (FL)

-lecture Delile : révisions pages 64 et 70 + lecture page 71 "la chèvre savante".

-lecture Cuissart : révision page 24 + lecture page 25.

-cahier de classe :

+écriture : "G-Gg-Grèce"

+copie : ces assiettes blanches ne sont pas en porcelaine, mais en faïence.

+calcul : compter de 3 en 3 de 29 à 2. Compter de 5 en 5 de 28 à 3.

+analyse

-grammaire / analyse : "dédale et icare regardent l'horizon". Le verbe est "regardent". Qui est-ce-qui regardent ? c'est "dédale et icare" (noms propres). Dédale et icare regardent quoi? "l'horizon".

-conjugaison : récitation collective des verbes avoir et être au présent puis copie sur l'ardoise.

-orthographe Delile : page 25 "ion, ien, ian, oin, ain, ein".

-vocabulaire : lecture d'Hermès épisode 69. Résumé : Persée est rentré sur l'île de Sériphos, où il a transformé en pierre le roi qui tyrannisait sa mère.

-fichier de mathématiques : page 110, identifier des erreurs dans une solution.

-arithmétique Lemoine : page 49, exercice 5 et problème 1 sur l'ardoise puis sur le livret.

-dessin : on a appris à dessiner un ibis.

-sport : badminton.

Devoirs pour mardi 29 avril

-lecture : Cuissart page 25.

-dictée : la chèvre broute le pré.

-poésie : princesse de la nuit

vendredi 25 avril 2008

NOUVEAU manuel de calcul pour le CP


Le fichier est consultable en open content à http://www.slecc.fr/fiches_SLECC_CP.htm

contact pour le fichier : slecc.dupre@tele2.fr

Ce cahier d'exercices propose une progression rigoureuse qui permet de mener de front l'apprentissage de la numération et des 4 opérations.

Instituteur à Gien (45), Pascal DUPRÉ s'appuie sur 25 ans de pratique en école maternelle et en CP.

vendredi 18 avril 2008

080418

Deux commentaires auxquels je souscris totalement.
JPP


1.) Communiqué du GRIP relatif aux nouveaux programmes de l'école primaire


2.) Commentaire du programme de grammaire et d’orthographe 2008

par Julien Lachièze, instituteur.
et Rachel Boutonnet, institutrice.

Après une longue période de déliquescence de l’enseignement de la grammaire à l’école primaire, ce programme, dont le plus grand mérite est d’en être un, marque incontestablement un tournant.
À la différence des programmes de 2002, les différents niveaux sont ici balisés et chaque notion nouvelle précisée. Ce recentrage sur les contenus évite de se perdre dans le flou des cycles. Il préserve la liberté des maîtres : les connaissances à enseigner sont clairement établies, mais les démarches ne sont plus imposées.
La progression grammaticale cesse d’être subordonnée aux besoins ponctuels des « productions d’écrits » ou des « projets » obligatoires. On rompt aussi avec le saupoudrage pernicieux de l’ORL, cette grammaire d’occasions, source de nombreuses confusions.
Le changement de cap, du moins dans l’orientation générale, est donc bien réel. Vrai programme, objectifs précis : l’étude de la grammaire peut enfin prétendre recouvrer sa cohérence.
On attend à nouveau des élèves qu’ils apprennent leur langue et qu’ils sachent l’écrire. Les auteurs précisent ainsi à de nombreuses reprises que ceux-ci doivent, quand ils écrivent, « respecter les règles », « écrire sans erreur », « orthographier sans erreur », « accorder sans erreur », etc. Cette insistance un peu lourde trahirait-elle la crainte de n’être pas compris ? Il est vrai qu’il y a une pente à remonter. Les maîtres d’école, poussés dans cette voie par les textes officiels, ont trop souvent laissé de côté l’étude systématique de la langue, comme si les règles de grammaire et d’orthographe pouvaient miraculeusement « émerger » de la seule pratique de la « production d’écrits ». Résultat, l’incorrection est devenue norme, et les écrits « produits » incompréhensibles. On saluera donc comme un bienfait la disparition du petit monde enchanté de « l’observation des chaînes d’accord » et de « l’observation des règles d’engendrement des temps des verbes ». Préparés par l’étude explicite des principales natures : nom, verbe, article, adjectif qualificatif, les accords sont exigibles et exigés : celui de l’adjectif et de l’article avec le nom ; celui du verbe avec son sujet. Les différents cas de formation des féminins et pluriels des noms et des adjectifs sont recensés avec clarté. Des conjugaisons définies sont à étudier et à appliquer à l’écrit. L’inventaire des confusions possibles – terminaisons verbales et homophones grammaticaux –, démultipliées par la superficialité de l’ORL, est même dressé.
Précis et exigeants, ces programmes sont en outre marqués par un réel souci de progressivité.
Par exemple, les différentes natures regroupées sous le terme « déterminants » y sont étudiées progressivement, alors que cette classe composite donnait lieu jusqu’à maintenant à un enseignement indifférencié de toutes les natures qu’elle regroupe . Ainsi, l’article – qui n’est pas appelé « déterminant article » – est enseigné en CP et CE1, les « déterminants » possessifs en CE2, les « déterminants » démonstratifs et indéfinis en CM1 et les « déterminants » interrogatifs et exclamatifs en CM2.
L’étude du complément du nom, en CE2, précède l’introduction de la proposition subordonnée relative en CM1. C’est une rupture avec l’enseignement des notions troubles d’ « expansions du nom » ou « de la phrase » qui, dans les programmes précédents, noyaient dans un ensemble vague l’adjectif, le complément du nom et la proposition subordonnée relative.
L’analyse des propositions est répartie de la façon suivante : la coordination, la juxtaposition et la proposition subordonnée relative sont vues en CM1 ; la proposition subordonnée conjonctive en CM2.
Soit dit en passant, on comprend l’hostilité manifestée à l’égard de ces programmes par ceux qui, depuis des décennies, vantent les vertus grammaticales des « découvertes autonomes » et des « compétences transversales » ou « citoyennes ». Au moins pourraient-ils avoir la retenue de ne pas fuir leurs responsabilités dans un fallacieux « Nous l’avons toujours fait ! » Doit-on leur rappeler que leur refus d’enseigner les éléments, c’est-à-dire, à l’école élémentaire, d’enseigner quoi que ce soit, a fait la prospérité de l’industrie du soutien scolaire ? Jolie conquête démocratique : faire payer - à ceux qui le peuvent – les connaissances que l’école gratuite ne délivre plus.

Attendus donc, et salutaires, ces programmes ne rejettent pourtant pas, loin s’en faut, toutes les marottes pédagogistes.
On peut tout d’abord noter la litanie des infinitifs : « repérer, identifier, comprendre, mémoriser, utiliser, distinguer » ; injonctions creuses dont le seul mérite est d’éviter le mot tabou de « connaissances ». La manie constructiviste de l’« approche » des notions – aux dépens de leur étude explicite – conserve aussi quelques droits vigoureux.
Ainsi, la « notion de circonstance » n’est qu’ « approchée » en CE1, puis encore en CE2, les élèves devant seulement « savoir répondre oralement aux questions où ?, quand ?, pourquoi ?, comment ? ». L’étude de la circonstance n’est formalisée qu’en CM1, où sont enfin étudiés les compléments circonstanciels de lieu, de temps, de cause et de manière. De même, l’adverbe est-il seulement « manipulé » – aveuglément – en CE1, puis en CE2, avant d’être enfin étudié en CM1. C’est également par la manipulation seule qu’il est prévu d’aborder « la coordination par et, ni, ou, mais entre des mots ou des phrases simples ; par car, donc entre des phrases simples » en CE2, alors que la coordination et la juxtaposition ne seront formellement étudiées qu’en CM1. Vestiges d’un enseignement par « construction autonome », qui élude les connaissances et prédit son propre échec, deux lignes d’orthographe s’enorgueillissent du défaitiste « en cours d’acquisition » : le pluriel des noms en -au et en -ail en CM1 ; la distinction leur/leurs en CM2.
On s’étonne ensuite du fait que le travail sur « la correspondance entre lettres et sons » reste au programme d’orthographe jusqu’en CE2. La capacité à écrire phonétiquement sans erreur devrait être une affaire réglée en fin de CP. Sans doute est-elle encore requise au CE2 ; elle l’est même au baccalauréat : devrait-on alors l’inscrire au programme de terminale ?
Cette anomalie programmatique résulte d’une hégémonie d’autant plus prégnante qu’elle fait l’objet d’un déni complet, celle des méthodes semi-idéovisuelles dissociant écriture et lecture.
Certes, le terme de « voie directe », qui faisait une obligation de la reconnaissance des mots, en occultant la valeur sonore des lettres, a été évacué. Mais il revient ici par la fenêtre dans une liste de « mots-outils » dont la fréquence est réputée valoir dispense de déchiffrage et permettre l’écriture « globale », sans relation entre ce qui est écrit et les sons transcrits. Fallait-il encourager les instituteurs, devenus malgré eux, après des années de propagande, les Messieurs Jourdain de ces méthodes désastreuses, à persévérer dans l’erreur. Cet objectif – « la correspondance entre lettres et sons » –, décidément présenté comme un graal, est pourtant aisément atteint par un apprentissage simultané de l’écriture et de la lecture. Plutôt que de chercher à corriger des insuffisances provoquées par des instructions absurdes, les programmes feraient mieux, tout en laissant une entière liberté dans le choix des méthodes, de se contenter d’exiger de tous les élèves en fin de CP l’écriture correcte de tout mot régulier : coquille, écureuil, tailleur, guirlande, musique, classe, ….
En dépit de l’effort de progressivité, la conservation du terme « déterminant » est problématique. Cette « classe » rassemble en effet sous une fonction commune plusieurs natures différentes, et non, justement, UNE nature. Son utilisation entraîne chez les élèves une confusion nocive et durable, tous les mots adjoints au nom – quand ce ne sont pas tous les « petits mots » précédant le nom – devenant indistinctement pour eux des « déterminants ». Placé alternativement dans les natures et les fonctions, le mot « déterminant » entretient la confusion entre ces deux notions que l’on veut à juste titre faire distinguer. « Nature : déterminant ; fonction : détermine » : cette incohérence contrevient aux exigences de clarté en principe de rigueur à l’école primaire ; cela devrait suffire à en faire écarter l’usage à ce niveau.
Également contradictoire avec l’ambition annoncée de faire identifier les différentes natures et d’établir une distinction précise entre nature et fonction, on trouve encore dans ces programmes les « mots de liaison », fourre-tout où s’empilent conjonctions de coordination et de subordination, pronoms relatifs et adverbes.
Le groupe nominal est introduit au CE1. Certes, ces programmes attirent l’attention sur les éléments du groupe du nom, leur nature et leur fonction, mais il est regrettable qu’ils laissent entendre que la notion de groupe pourrait être enseignée avant l’étude de ses composants, surtout quand on sait à quel point les pratiques « groupistes » sont enracinées.
La distinction « fonctionnelle » entre « compléments essentiels » et « compléments circonstanciels » subsiste d’ailleurs en CM2. Retour déguisé du « groupe verbal » dont le « complément essentiel » est constitutif ? Introduit en primaire, le groupe verbal, lui-même peuplé de « GN » et de « GV », dissout natures et fonctions. Quant aux opérations formelles de déplacement et de suppression, elles diluent les spécificités des compléments du verbe.
Outre ces concessions aux instructions antérieures, quelques bévues sont à relever.
La déroute de l’orthographe doit-elle encourager à piocher sans discernement dans le premier catalogue mécaniste venu ? On trouve dans les homophones grammaticaux du CM1 le traitement de : ce/se ; c’/s’ (c’est/s’est ; s’était/c’était). Et cela, sans la moindre mention des verbes pronominaux qui impliquent pourtant de sérieuses subtilités. Par suite – Bled en main ? – les rédacteurs dispersent, au petit bonheur, du CE1 au CM2, les diverses leçons d’orthographe lexicale et d’usage. Bien sûr, celles-ci doivent être reprises et complétées chaque année. Mais elles sont ici alignées dans un ordre souvent hasardeux, et la gradation des difficultés y est aléatoire. À quoi rime le malheureux « h aspiré », échoué en CM2 ? La coupe syllabique en fin de ligne, qui devrait être acquise en début de CE1, n’apparaît – au grand soulagement des professeurs de collège –, qu’en CM2 également.
C’est à peine si l’on trouve trace, ou très tardivement, en CM1, de l’étude des noms masculins et féminins en -ail, -eil, -euil, et des noms féminins en -ée, -té, -tié, ou portant un « e » muet. Privée de cette matière, l’étude abstraite du genre des noms, placée en CE1, ne peut guère avoir d’effet en orthographe.
À titre de comparaison, rappelons la progression méthodique d’un Berthou CE1 qui étudie les noms en -ie, -ue, -oue, -oir/-oire, -eur, -ail, -euil, -eil, etc ; ou encore, toujours en CE1, les mots en acc-, app-, aff-, eff-, off- ici relégués en CM2, donne des règles mnémotechniques et cite les exceptions qui renforcent l’apprentissage des régularités.

Nous soulignions en commençant les efforts de clarté et de progressivité de ces nouveaux programmes. Il y a pourtant matière à discuter la pertinence de certaines progressions. La distinction entre complément d’objet direct et complément d’objet indirect est au programme dès le CE2, or la préposition, qui caractérise le complément indirect, n’est étudiée qu’en CM2. Seconde remarque, plus fondamentale : quelle est l’utilité de faire distinguer au CE2 ces deux compléments ? La connaissance du COD a deux applications. La première est l’accord du participe passé employé avec l’auxiliaire avoir lorsque le COD est placé avant le verbe. Cette étude suppose la maîtrise des temps composés et de la pronominalisation du COD, qui est ici au programme du CM1. La seconde application – qui n’est traitée qu’en CM2 – concerne la transformation de la voix active à la voix passive, où le COD devient sujet. Au niveau où elle est au programme, la différence entre les deux compléments d’objet ne répond à aucune nécessité et ne peut être que formelle. Il n’y a sans doute pas lieu d’en encombrer l’esprit des élèves. Mieux vaudrait, en CE2, s’en tenir à l’appellation « complément d’objet » - en ne prenant en classe que des exemples de complément d’objet direct –, l’objectif étant de faire distinguer l’objet de l’attribut du sujet et du complément circonstanciel.
S’agissant d’ailleurs de ce dernier, on note qu’après en avoir étiré l’ « approche » en CE1, puis en CE2, les programmes ne le formalisent qu’en CM1. Le complément du nom, lui, est étudié dès le CE2. Vraie question de progression : lequel, du complément du nom et du complément circonstanciel, doit être étudié en premier ?
Le traitement du complément du nom présente quelque intérêt orthographique. Il peut en effet permettre de prévenir une erreur courante : l’accord mécanique du verbe avec le nom qui le précède, comme dans : « Le chat des voisins grimpe sur le toit » où le verbe est souvent affublé d’un -ent indu. Les rédacteurs ont-ils eu cette préoccupation ? La difficulté est pourtant aisément levée si l’accord du verbe avec le mot sujet est solidement établi, ce qui est justement l’objectif du CE2. On peut penser aussi qu’on a voulu privilégier le groupe nominal et ses expansions par rapport à la phrase simple au programme de CE. Or le complément du nom et le complément circonstanciel ne sont pas d’égale importance dans la phrase simple, dont il convient avant tout de mettre en évidence la structure : sujet, verbe, compléments. Il est essentiel d’y distinguer deux types de compléments du verbe : le complément d’objet et le complément circonstanciel. Le complément du nom, dans la structure de la phrase, est d’un rang secondaire, puisqu’il vient compléter un nom ayant une fonction majeure dans la phrase : sujet, attribut, complément d’objet ou complément circonstanciel. Placer l’étude du complément du nom avant celle du complément circonstanciel est donc un choix très contestable qui met l’accent sur l’accessoire expansionniste plutôt que sur un élément de portée plus générale. En prime, si on l’étudie dès le CE2, il faut traiter prématurément, avant d’avoir installé l’idée d’objet du verbe, et avant d’avoir abordé la préposition, la différence entre complément du nom et complément d’objet indirect, deux compléments qui répondent aux mêmes questions : « de qui ? », « de quoi ? ».

Il serait malvenu de nier la précision de la progression de conjugaison : présent, futur et passé composé en CE1 ; imparfait en CE2 ; passé simple et impératif présent en CM1 ; enfin, futur antérieur, plus-que-parfait, passé antérieur, conditionnel présent, subjonctif présent, participe passé et participe présent en CM2. Elle présente néanmoins de graves inconvénients.
Ainsi, le CE1 est démesurément chargé. Aux temps présent, futur et passé composé des verbes du 1er groupe, d’être et d’avoir, sont ajoutés pas moins de sept verbes au présent : faire, aller, dire, venir, prendre, vouloir, pouvoir. Le nombre de leçons nécessaires pour venir à bout de ce programme excède à coup sûr la trentaine ; c’est trop pour une année scolaire chargée d’autres contraintes. Cette tendance s’aggrave en CE2 : en plus de l’imparfait, la liste précédente s’allonge de cinq verbes supplémentaires : boire, partir, rendre, savoir, voir.
Mais il y a plus fâcheux que ce problème quantitatif. On privilégie en effet les cas particuliers et les irrégularités – notamment du présent – par rapport à une compréhension générale du système de conjugaison. Il est surprenant de voir que la liste des verbes du 3ème groupe est close dès le CE2. Cette charge excessive oblige à sacrifier le passé simple, qui ne sera vu qu’en CM1.
Parallèlement, alors que le passé composé est étudié en CE1, la correspondance entre temps simples et temps composés ainsi que la connaissance de l’auxiliaire et du participe passé sont repoussées en CM1. La mise en évidence du système temps simples / temps composés est donc beaucoup trop tardive. Ce n’est d’ailleurs qu’au CM2 que sont enfin abordés d’autres temps composés que le passé composé.
L’exigence forte portée sur les conjugaisons écrites risque en conséquence de se heurter à des obstacles sérieux. La focalisation prématurée, en CE1 et en CE2, sur le 3ème groupe demandera des efforts considérables. Elle induira un enseignement épuisant, peu efficace voire contreproductif : la mémorisation des temps simples en pâtira forcément. Certes, les irrégularités nécessitent un traitement particulier, mais celui-ci ne doit surtout pas compromettre la saisie du système, comme c’est le cas. En négligeant et en différant l’étude des temps composés, cette progression compte sur la seule mémoire. Les thuriféraires de l’ORL, au demeurant assez indifférents à la régularité des conjugaisons, ne manqueront pas de trouver là l’occasion de récuser l’enseignement systématique. Or il ne s’agit justement pas d’un enseignement « systématique » puisqu’on s’y prive des raccourcis de la compréhension générale du système. Il eût donc mieux valu prévoir une autre répartition, plus judicieuse : commencer par une première et modeste application écrite en CP ; introduire en CE1 l’étude de l’imparfait des verbes du 1er groupe, d’avoir et d’être à l’écrit, sans la diversion des verbes du 3ème groupe ; répartir les autres verbes sur les trois cours suivants. Surtout, compléter l’étude de la correspondance entre temps simples et temps composés en CE2 et y enseigner le passé simple afin d’être en mesure d’enseigner l’indicatif complet dès le CM1.

Concluons sur une observation touchant à la formation des enseignants chargés de mettre ces programmes en oeuvre. On se heurte là à une difficulté considérable. Pour beaucoup de maîtres en exercice depuis quelques années, les pratiques pédagogistes sont devenues une seconde nature, la négligence à l’égard de l’enseignement des éléments une habitude. Et que dire des débutants qui, en tant qu’élèves du primaire et du secondaire, ont subi un enseignement de la langue entièrement dégradé ? Les exemples d’ignorance grossière ne sont pas rares. Avant même de songer à faire distinguer aux élèves complément d’objet indirect et complément d’attribution, il faudrait pour certains maîtres en passer par des apprentissages nettement plus modestes : reconnaître la différence entre un verbe à un temps composé de la voix active et un verbe à la voix passive ; ne pas prendre un participe passé pour un COD de l’auxiliaire ; apprendre la règle du redoublement du « s » entre deux voyelles. Ces exemples, qui ne sont pas inventés, ne sont pas destinés à accabler les jeunes collègues dépourvus de savoir grammatical, mais à faire mesurer l’urgence de la rénovation de la formation initiale et de la formation continue. Tant que celles-ci resteront sous la coupe des contempteurs de l’enseignement de la grammaire, aucun redressement n’est à attendre.
Cette impasse explique-t-elle la discrétion des programmes concernant les exercices irremplaçables que sont l’analyse grammaticale et l’analyse logique ?

Julien Lachièze, instituteur.
Rachel Boutonnet, institutrice.
.
Bordeaux, le 14 avril 2008.

vendredi 11 avril 2008

Semaine 27 / vendredi 11 avril (FL)

-lecture Delile : page 64 et 70.

-lecture Cuissart : page 24.

-cahier de classe :

+dictée : le caïman est une sorte de crocodile.

+copie : icare et son père sont prisonniers dans le labyrinthe.

+écriture : "F-Ff-France".

-conjugaison : récitation collective des verbes être et avoir puis copie sur l'ardoise.

-orthographe Delile : page 24, le lettre "y".

-vocabulaire : lecture d'Hermès, épisode 68. Résumé : "après avoir tué la Gorgone Méduse, Persée a rencontré Andromède, une belle jeune fille condamnée à être dévorée par un monstre marin. Il a tué le monstre et se prépare à épouser Andromède."

-arithmétique Lemoine : page 48, problèmes 1 et 2. Page 49, lecture exercice 1, puis sur l'ardoise exercice 2. Individuellement, exercice 4.

-musique : chants.

Devoirs pour le lundi 28 avril

-lecture Delile : page 64 et 70.

-lecture Cuissart : pages 10 à 24.

-écriture : écrire quelques phrases de Cuissart.

-sport : rugby le lundi après-midi.

Bonnes vacances.

jeudi 10 avril 2008

080410 BO n°15 du 10 avril 2008

Bulletin officiel de l'Éducation nationale
avril 2008

PRÉPARATION DE LA RENTRÉE 2008
lire le BO >>>

Merci à Muriel pour ce lien

SEMAINE 27 / jeudi 10 avril 2008 (JPP)

- écriture : sur le cahier de classe
"E - Ee - Edouard"


- maths : fichier page 109 "Les nombres jusqu'à 80, écritures additives"
À l'aide du boulier, nous revenons encore une fois sur la terminologie des
soixante-dix (60 + 10),
quatre-vingts (4 fois 20)
et quatre-vingt-dix (4 fois 20) + 10

cf. feuille sur la note d'hier. Cette feuille est complétée puis collée dans le fichier de mathématiques.


- lecture Delile : page 64 "w - ï - e->a"
C'est notre dernière leçon avec Delile mais il reste encore 5 textes à découvrir sur ce livre.
Collectivement, au troisième trimestre, nous n'utiliserons plus guère l'ouvrage .
Cependant, à titre individuel, nous pourrons éventuellement encore recourir aux leçons pour conforter l'assurance en lecture.

+ "Icare, l'homme oiseau"
relecture individuelle, toute la classe, à voix haute.


- cahier de classe : frise
+ dictée :
"l'astronome a vu une étoile."

+ analyse : " Ernest lit un beau livre"
(Une phrase commence par une lettre majuscule et se termine par un point.)

Le verbe est "lit". Qui est-ce qui lit ? c'est Ernest (nom propre de personne, masculin singulier)

Ernest lit quoi ? un livre (nom commun de chose, masculin singulier, accompagné de son article "un")

"beau" est un adjectif qualificatif qui nous dit comment est le livre.


- orthographe Delile : les 3 exercices de la page 23 "les groupes de lettres avec L ou R"


- conjugaison : Le présent du verbe finir, récité en choeur.


- vocabulaire : HERMÈS, épisode n° 66 "Où Persée rencontre trois affreuses vieilles"
Persée a rusé et a réussi à savoir où se cachent les Gorgones. Athéna lui a offert son bouclier pour affronter Méduse sans la regarder en face.

+ épisode n° 67 "Dans lequel Persée affronte les Gorgones"
Bien armé par Hermès et Athéna, Persée a réussi à couper la tête de Méduse sans jamais la regarder. mais il doit s'enfuir au plus vite, poursuivi par les deux soeurs de Méduse.


- lecture courante : Frédi, Suzette ... chapitre 10 "L'oiseau sauvé" pages 26 et 27. Relecture individuelle, toute la classe, à voix haute.

- dessin : page 15 des "jeux de lecture"
+ je colorie le beau dessin
+ je relis le n° 3 de la lecture courante, page 26 et je dessine maman cane qui soigne le pauvre Clapi.

- récitation : PRINCESSE DE LA NUIT
On la voit
Au début de la nuit
Et à la fin du matin.
On la voit
Deux fois dans l'année.
Et elle apparaît
Lorsqu'on regarde la lune.
Qui est-ce ?

Solution : la lettre "N".

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+ la poésie à apprendre pour la semaine 29 (6 mai)

Jouons à Guignol.

Petit Jean dit à petit Paul :
"Nous allons jouer à Guignol ;
Moi je ferai le commissaire.
Et toi tu seras le brigand ;
Je me charge de ton affaire,
A coups de bâton, pif, paf, pan !"

Mais Paul répond : "Polichinelle
Sera bien mieux joué par toi..."
Et là-dessus grande querelle.
"Toi le brigand ! ... - Non, non pas moi !"

Un passant leur dit : "Quel tapage !
Pourquoi crier à rendre sourd ?
Soyez donc - c'est un moyen
sage -
Brigand chacun à votre tour."

Paul Lheureux

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TRAVAIL EN FAMILLE
pour vendredi 11 avril 2008 (avec FL)
- lecture Delile page 64
- dictée "le caïman est une sorte de crocodile."

pour mardi 29 mai 2008 (avec FL)
- récitation : "Princesse de la nuit", à apprendre entière.
Cette courte récitation est en partie déjà connue. Commencez dès à présent à apprendre celle de la semaine 29 "Jouons à Guignol"
Toutes les deux seront remises demain par la maîtresse

Le compte rendu du dernier conseil d'école est remis aux famille.

mardi 8 avril 2008

SEMAINE 27 / mardi 8 avril 2008 (JPP)

- écriture : sur le cahier de classe
"D - Dd"


- lecture-écriture Cuissart : page 24
lecture individuelle, n° 1, n°2, n°3


- maths : fichier page 108 "Ordonner les nombres jusqu'à 80"
À l'aide du boulier, nous revenons sur la terminologie des
soixante-dix (60 + 10),
quatre vingts (4 fois 20)
et quatre vingt-dix (4 fois 20) + 10


- cahier de classe : frise
+ dictée :
"il y a six degrés de froid."


- orthographe Delile : leçon + exercices de la page 22 "ga - go - gu et gue - gui"


- lecture Delile : page 70 "Icare, l'homme oiseau" entière.
D'après la légende grecque.


- conjugaison : contrôle sur l'ardoise. Le présent du verbe avoir et celui du verbe être.


- vocabulaire : HERMÈS, épisode n° 65 "Où Persée se met dans une situation périlleuse"
Persée a promis au roi de lui rapporter la tête de la Gorgone Méduse, un terrible monstre à la tête hérissée de serpents. Hermès vient à sa rencontre pour l'aider.

+ les mots dérivés. Les mots de la famille de drap -> drapé, draperie, drapeau
ceux de la famille de tronc -> tronçon, tronçonner, tronçonneuse
...


- natation : 3 groupes de piscine (Michel, Alexis, JPP)

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TRAVAIL EN FAMILLE
pour jeudi 10 avril 2008 (avec JPP)
- lecture Cuissart page 24
- dictée "l'astronome a vu une étoile."

Le livret scolaire est remis aux enfants. Il sera rapporté à l'école, signé par les parents.
Pour chaque rubrique travaillée en classe, nous émettons un bref commentaire. Une observation d'ensemble donne notre appréciation générale, assortie ou non de "félicitations".
Avant d'être remis aux famille, les dossiers sont transmis à la Directrice qui en prend connaissance et les signe.

lundi 7 avril 2008

Semaine 27 / lundi 7 avril (FL)

-lecture Delile : lecture complète de la page 64.

-lecture Cuissart : révision page 22 + lecture page 23 le "dr de cadre".

-Jeu de lecture Roussel : page 14 exercices 3 et 4.

-cahier de classe :

+dictée : le grade du caporal.

+copie : c'est un bouquet de glaïeuls, elle attendait patiemment, il conduit très prudemment.

+écriture : "C-Cc-Clermont".

+analyse.

-grammaire / analyse : "une forte averse arrive". Le verbe est arrive. Qui est-ce-qui arrive, c'est une forte averse (nom commun, féminin, singulier). Forte (adjectif).

-copie / dictée : avec le livre Cuissart, dictée de mots sur l'ardoise qui sont ensuite relus (paragraphe 1, page 23).

-orthographe delile : page 21 "ca-co-cu et que-qui".

-arithmétique Lemoine : page 48, exercices 1, 2, 3 et 4 sur l'ardoise puis dans le livre d'arithmétique individuellement.

-vocabulaire : lecture d'Hermès, épisode 64.

-sciences : percevoir l'évolution de son corps (pesée et mesure du 2ème trimestre : mise en relation avec la pesée et la mesure du 1er trimestre).

-sport : évaluation en ping-pong.

Devoirs pour mardi 8 avril (JPP)

-lecture Delile : page 64 entièrement.

-lecture Cuissart : page 23.

-dictée : il y a six degrés de froid.

vendredi 4 avril 2008

080404 Le ministre de l'Éducation nationale sur France Culture

France Culture "LES MATINS"
Émission du jeudi 3 avril 2008

11 200, c'est le nombre de postes qui seront supprimés à la prochaine rentrée dans l'éducation nationale. En réaction, les lycéens manifestaient mardi et de nouveaux défilés sont prévus aujourd'hui, notamment à Paris, Lyon et Marseille. Leur slogan : "postes supprimés, élèves sacrifiés".
Les Matins ouvrent le débat avec le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos.
Au sommaire donc la suppression des postes dans l'enseignement secondaire, le recrutement et la formation des professeurs mais aussi la réforme des programmes du primaire.

Écouter l'émission>>>

Semaine 26 / vendredi 4 avril (FL)

-lecture Delile : page 64, les 4 premières colonnes de mots.

-lecture Cuissart : révision page 21 et lecture page 22 le "gr de tigre".

-lecture Roussel : pages 26-27 "l'oiseau sauvé".

+jeu de lecture page 14 exercices 1 et 2.

-cahier de classe :

+dictée : rémi a obtenu deux prix.

+copie : il est monté dans le wagon, j'ai vu un album de photos.

+analyse

+écriture :
"B-Bb-Blois".

+calcul : compter de 3 en 3 de 27 à 3 et de 4 en 4 de 27 à 3.


-grammaire / analyse :
"il se gratte l'oreille droite". Le verbe est "se gratte" . Qui est-ce-qui se gratte, c'est "il" (pronom personnel). Il se gratte quoi ? l'oreille (nom commun, féminin, singulier). Droite (adjectif).

-vocabulaire : lecture d'Hermès, épisode 63.

-arithmétique Lemoine : page 47, problèmes 1 et 2.

-dessin : on a appris à dessiner un gorille.

-orthographe Delile : page 20 ge-gi-gea-geo, exercices 1, 2 et 3.

-musique : chants.

Devoirs pour lundi 7 avril (FL)

-lecture Delile : page 64 la moitié.

-lecture Cuissart : page 22.

-dictée : le grade du caporal.

Bon week-end à tous.

jeudi 3 avril 2008

080402 JOURNÉE MONDIALE DE L'AUTISME

Message de M. Ban KI-MOON, Secrétaire général de l'ONU >>>
pour rendre hommage au courage des enfants autistes et à leurs familles, à l'occasion de la 1è journée mondiale de la sensibilisation à l'autisme.

SEMAINE 26 / jeudi 3 avril 2008 (JPP)

- écriture : Nous avons terminé le deuxième cahier d'écriture Grosgurin.

Les lignes d'écriture seront désormais faites sur le cahier de classe.

Aujourd'hui nous démarrons l'apprentissage des lettres majuscules. "A - Aa - Afrique"


- lecture-écriture Cuissart : page 21 "pr de pampre"
lecture individuelle, n° 1, n°2, n°3


- copie/dictée : sur l'ardoise exercice n° 1 et n° 2 page 21 sur Cuissart.


- maths : fichier page 107 "Les nombres jusqu'à 70, écritures additives"


- cahier de classe : frise
+ dictée :
"Roxane habite une maison luxueuse."


- lecture Delile : page 69 "L'ogre et le chat botté", d'après Charles Perrault.
Plus tard dans la journée nous avons écouté la version originale de Perrault.


- arithmétique : page 47 "Soustraction/Division/le nombre 27"

n°1 compter les boules, puis retrancher du total

n°2 combien reste-t-il si on retranche 17 de 27 ? si on retranche 3 fois 8 de 27 ? 5 fois 5 de 27 ? 4 fois 6 de 27 ? 3 fois 6 de 27 ?

n°3 La table de division des 3

n°4 compléter les opérations suivantes
27 — 5 = ...
27 — 9 = ...

27 — ... = 23
27 — ... = 21

... — 6 = 19
... — 8 = 18

(3 fois 9) — ... = 22
(3 fois 8) — ... = 19

n°5 Faire les soustractions et les divisions suivantes (posées).
27 — 8 = ...
27 — 14 = ...
27 — 9 = ...

24 : 3 =
15 : 3 =
27 : 3 =


- vocabulaire : HERMÈS, épisode n° 61 "Où la mort sépare les amoureux"
Le jour de son mariage Eurydice est mordue par un serpent et meurt. Son mari, Orphée, est inconsolable. Il va la chercher aux Enfers

+ épisode n° 62 "Où l'on voit que le manque de confiance peut coûter cher"
Orphée a réussi, grâce à la force de son aour, à obtenir de ramener Eurydice à la vie. Mais il l'a regardée trop tôt, avant qu'elle soit sortie des Enfers. Et il vient de la reperdre pour toujours. Hermès veut comprendre qui décide du destin des hommes et il retourne voir Pausania.

Charon, illustration de Gustave Doré pour la Divine Comédie


- lecture courante : Frédi, Suzette et le canard boiteux.
page 24 et 25, La lessive de Suzette.
+ page des exercices correspondants dans les "jeux de lecture"

- dessin : coloriage des vignettes du livre de lecture courante

- culture générale : 2 courts films d'animation par Tex Avery.
"En prison" et "Le petit chaperon rouge"


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TRAVAIL EN FAMILLE

pour vendredi 2 avril 2008 (avec JPP)
- lecture Cuissart page 21 "pr"
- dictée : "rémi a obtenu deux prix."

mardi 1 avril 2008

SEMAINE 26 / mardi 1 avril 2008 (JPP)

- écriture Grosgurin : dernière page



- lecture-écriture Cuissart : page 19
lecture individuelle, n° 1, n°2, n°3


- copie/dictée : sur l'ardoise exercice n° 1 page 19 sur Cuissart.

- maths : fichier page 106 "Géométrie avec les gabarits"


- cahier de classe : frise
+ dictée :
"il pleut, on se mouille."
+ analyse : "elle porte des jolies lunettes."

Le verbe est "porte".

Qui est-ce qui porte ? c'est "elle", pronom personnel, féminin singulier

elle porte quoi ? des lunettes, nom commun de chose féminin pluriel.

Le mot "jolies" nous dit comment sont les lunettes. C'est un adjectif qualificatif. Il qualifie le nom "lunettes" et, comme lui, il est féminin pluriel. C'est pour cela que "jolies" porte un e (marque du féminin) et un s (marque du pluriel).

Pour aujourd'hui, nous irons pas plus loin dans les explications. Nous venons d'aborder la question de l'accord (en genre et en nombre) de l'adjectif avec le nom qu'il qualifie.

+ frise

- orthographe Delile : page 40 le présent du verbe ÊTRE. Révision à l'oral.

- lecture Delile : page 63 "x" entière.


- vocabulaire : HERMÈS, épisode n° 59 "Où Hermès est chargé d'une mission délicate"
Hermès est allé cherché Perséphone aux Enfers. Hadès a accepté de la laisser repartir, mais elle vient d'avaler trois pépins de grenade qui la mettent en danger...

+ épisode n° 60 "Où une fille et une mère se retrouvent enfin"

Perséphone a retrouvé Déméter, sa mère, mais elle retournera tous les ans rejoindre Hadès aux Enfers pendant les trois mois d'hiver.


- leçon de chose : observation d'une pâquerette
nom français : petite marguerite ou pâquerette
nom latin : bellis perennis.
C'est une plante de la famille des composées.
Nous expliquons que la "fleur" que nous voyons est en fait un assemblage de plusieurs fleurs "en capitule".
Sur le chemin de la piscine, l'après-midi, nous avons rencontré d'autres fleurs composées : pissenlit, tussilage, ...

- dessin : après l'observation de la pâquerette, nous la dessinons sur notre cahier de dessin

- natation : 3 groupes de piscine (Valérie, Michel, Alexis)

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TRAVAIL EN FAMILLE pour mercredi 2 avril 2008 (avec JPP)
- lecture Cuissart page 19

pour jeudi 3 avril 2008 (avec JPP) - dictée : "roxane habite une maison luxueuse." lecture : delile page 63 entière