lundi 30 juin 2008

Semaine 37 / lundi 30 juin (FL)

-lecture Cuissart : révision page 51 + lecture page 48.

-cahier de classe :

+copie

+analyse

+calcul :
62+39=101
45-26=19
39x3=117
64 : 8=8

-grammaire / analyse : "Clapi se baigne dans la mare boueuse". Le verbe est "se baigne". Qui est-ce-qui se baigne ? c'est "Clapi". Clapi se baigne où ? "[dans] la mare boueuse" (la : article; mare : nom commun, féminin, singulier; boueuse : adjectif).

-vocabulaire : lecture d'Hermès, épisode 94.

-orthographe Delile : page 38 les pronoms personnels.

-dessin : on a appris à dessiner une princesse.

-arithmétique Lemoine : page 57, exercice2 sur l'ardoise et exercice 5 sur le livret.

-sport : jeu collectif.

Devoirs pour mardi 1er juillet (JPP)

-lecture Cuissart : page 48.

vendredi 27 juin 2008

Semaine 36 / vendredi 27 juin (FL)

-lecture Roussel : pages 54 et 55 "Au fournil".
+jeu de lecture

-cahier de classe :

+écriture : "8-9"

+copie : Il pleut, il mouille, c'est la fête à la grenouille...La grenouille a fait son nid, c'est la fête à la souris.

-calcul : additions et soustractions sur l'ardoise.

Spectacle Chorus au théâtre de Montluçon

jeudi 26 juin 2008

Semaine 36 / jeudi 26 juin (JPP)

- cahier de classe
+ dictée "La meilleure huile est faite avec des olives."
+ copie : "S'orienter, c'est chercher de quel côté est l'orient pour trouver ensuite les trois autres points cardinaux."
+ analyse : "La semaine prochaine, je construirai une belle cabane [dans] un arbre."

- lecture Cuissart : lecture page 51


- arithmétique : 1 problème


- orthographe Delile : page 37, Pluriel des noms en -eu et -ou
Exercice n° 1, 2 et 3, sur le livret


- vie courante : lecture de l'heure. La petite aiguille. Les heures
+ la grande aiguille. Les minutes. Dans une heure (un tour de grande aiguille), il y a 60 minutes
lecture des minutes sur le cadran 5 - 10 - 15 (1/4 d'heure)- 20 - 25 - 30 (1/2 heure) - 35 - 40 - 45 (3/4 d'heure) - 50 - 55


- géographie :
Leçon n° 5, L'orientation


- leçon de chose : Nous observons la boussole apportée par Dimitri.
Nous fabriquons deux systèmes qui peuvent remplacer une boussole :
1) Vincent nous prête un minuscule aimant que l'on met en flottaison
sur l'eau d'une bassine, à l'aide d'une pastille de polystyrène. Une aiguille de papier collée sur l'aimant met en évidence la recherche permanente du nord magnétique par l'aimant.

2) Un long cheveu de Lorie sert de suspension à un aimant circulaire. L'aimant est libre de tourner à sa guise mais nous observons que la face jaune (pôle nord) reste systématiquement orientée en direction du nord magnétique.
Voir une video (english) >>>

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TRAVAIL EN FAMILLE

pour vendredi 27 juin 2008 (avec FL)
pas de devoir
inutile d'apporter le cartable

Rappel
Toutes les classes de l'école élémentaire des Arènes se rendront au théâtre de Montluçon, ce vendredi 27 juin 2008. Les enfants viennent à l'école comme d'habitude pour 8h30.

Le départ est prévu de l'école à 10 heures
Arrivée à Montluçon à 10h30 .

Déjeuner sur place (repas "tiré du sac")

Dans l'après-midi, un spectacle folklorique sera présenté aux élèves.

Le retour est prévu à 15 heures.
L'arrivée à Néris les Bains vers 15h30.

Les parents reprennent leurs enfants comme d'habitude à 16h30.

mercredi 25 juin 2008

Semaine 36 / mercredi 25 juin (FL)

-lecture Cuissart : révision page 50 + lecture page 51.

-cahier de classe :

+dictée : l'écureuil est un joli petit animal.

+copie : Il pleut. La campagne disparaît derrière un grand rideau mouillé.

+écriture : "4.5.6.7"

+calcul
52+39=91
42-25=17
51-34=17
64-47=17

+analyse

-grammaire / analyse : "Le corbeau noir coasse [dans] le ciel gris". Le verbe est "coasse". Qui est-ce-qui coasse, c'est le corbeau noir (le : article; corbeau : nom commun, masculin, singulier; noir : adjectif). Le corbeau noir coasse où ? [dans] le ciel gris (le : article; ciel : nom commun, masculin, singulier; gris : adjectif).

-dessin : on a appris à dessiner une tente de tournoi.

Devoirs pour jeudi 26 juin (JPP)

-lecture Cuissart page 51.

-dictée : la meilleure huile est faite avec des olives.

mardi 24 juin 2008

080624 répartition des élèves pour l'an prochain

Ce soir notre Directrice a affiché les listes de classes.
Nous pouvons donc publier ici la répartition de nos élèves, telle que l'a établie le dernier conseil des maîtres, pour la rentrée 2008/2009.

En CE1 (avec M. Hiet)
— Vincent B.
— Pierrick C.
— Florian D.
— Tatiana D.
— Audrey D.
— Léo E.
— Théo F.
— Romane G.
— Christelle J.
— Victorine L.
— Logan L.
— Lorie P.
— Dimitri P-B.

En CE1/CE2 (avec Mme Alberti)
— Anaïs A.
— Steven F.
— Britt G.
— Célia H.
— Jean H.
— Charlotte J.
— Valentin K.
— Ilénia M-L.
— Tom S.

SEMAINE 36 / mardi 24 juin 2008 (JPP)

- cahier de classe
+ écriture "Qui vole un oeuf vole un boeuf "
+ dictée "Le chien ramène le bétail au bercail."
+ copie : "Aujourd'hui, les élèves de la grande section de maternelle nous ont rendu visite. Nous leur avons offeret un goûter. Ils ont vu leur prochaine école ; en septembre, nos amis entreront au cours préparatoire."
+ analyse : "Le pianiste joue un air connu."
+ calcul : 4 opérations posées en colonnes.
38 + 45 = 83
73 - 56 = 17
124 x 5 = 620
82 : 9 = 9 et il reste 1


- accueil des élèves de la grande section de maternelle : visite des locaux puis goûter partagé avec nos futurs CP

- lecture Cuissart : lecture page 50

- vie courante : lecture de l'heure. La petite aiguille. Les heures
Correspondances horaires sur le cadran 1/13 ; 2/14, ...

- vocabulaire :Perrault, Charles (1628-1703)
La Barbe bleue


- natation : 3 groupes de piscine. Notre dernière séance de l'année

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TRAVAIL EN FAMILLE

pour mercredi 24 juin 2008 (avec FL)
lecture Cuissart page 50
dictée : "L'écureuil est un joli petit animal."

Pensez à apporter une bouteille d'eau ; il fait très chaud
en ce moment, dans les classes comme à l'extérieur.

lundi 23 juin 2008

080624 photos du rugby et du spectacle

Les photos de la rencontre "rugby" à Commentry, le 12 juin dernier.
Celles du spectacle de fin d'année au théâtre.

ICI >>>>> ou bien sur le lien "photos de classe"
(Nécessite un mot de passe)

Semaine 32 / lundi 23 juin (FL)

-lecture Cuissart : révision page 46 + lecture 47.

-vocabulaire : lecture d'Hermès, épisode 92.

-cahier de classe :

+dictée : Suzette aux yeux bleus dirige cette étrange classe.

+copie : mes chers enfants mettez ces conseils en pratique : au seuil de la vie prenez l'habitude du travail.

+écriture : "0-1-2-3".

+problèmes

+analyse.

-grammaire / analyse : "le chien ramène rapidement le bétail". Le verbe est "ramène". Qui est-ce-qui ramène "le chien" (nom commun, masculin, singulier). Le chien ramène quoi ? "le bétail" (nom commun, masculin, singulier). "Rapidement" (adverbe, le compagnon du verbe).

-dessin : on a appris à dessiner un faucon.

-arithmétique Lemoine : problèmes 1 et 2 page 56.


-sport : jeu collectif.

Devoirs pour mardi 24 juin (JPP)

-lecture Cuissart : page 47

-dictée : le chien ramène le bétail au bercail.

vendredi 20 juin 2008

Semaine 35 / vendredi 20 juin (FL)

-lecture Cuissart : révisions page45 + lecture page 46.

-lecture Roussel : lecture pages 50 et 51 "une étrange classe".

-cahier de classe :

+dictée : Julien aura un bon point

+copie : C'est l'été. Madeleine joue tranquillement à la poupée avec Denise. En hiver, les enfants préfèrent les jeux plus mouvementés : la glissade.

+écriture : "Y-Z"

+analyse

+calcul : compter de 4 en 4 de 4 à 36 puis de 6 en 6 de 6 à 36.

-analyse / grammaire : [Au] théâtre, les comédiens ont joué une merveilleuse pièce. Le verbe est "ont joué". Qui est-ce-qui "ont joué" ? "les comédiens"(nom commun, masculin, pluriel). Les comédiens ont joué quoi ? une merveilleuse pièce (une : article; pièce : nom commun, féminin, singulier; merveilleuse : adjectif).

-vocabulaire : lecture d'Hermès, épisode 91.

-dessin : on a appris à dessiner le gentilhomme. On a également dessiné le schéma de notre circuit électrique.

-arithmétique Lemoine : page 56 exercices 3 et 4 sur le livret puis exercice 5 sur le cahier de classe.

-sciences : travail sur l'électricité. A quoi sert l'électricité ? Quels sont les dangers quand on manipule des objets électriques ? Réalisation d'un circuit électrique (pile; lampe, fils, interrupteur). On a vu à quoi servaient les différents composants d'un circuit électrique ainsi que que la notion d'isolant et de conducteur (bois, plastique, cuivre).


-musique : répétition avec la classe de CP/CE1 et Ce1 pour le spectacle chorus.

Devoirs pour lundi 23 juin (FL)

-lecture Cuissart pages 45 et 46.

-dictée : Suzette aux yeux bleus dirige une étrange classe.

Sport le lundi et vendredi.

Bon week-end à tous

jeudi 19 juin 2008

080619 HORAIRES et PROGRAMMES 2008 au PRIMAIRE

Bulletin officiel
hors-série n° 3 du 19 juin 2008

Horaires et programmes d'enseignement de l'école primaire>>>

080619 Théâtre à Montluçon

Toutes les classes de l'école élémentaire des Arènes se rendront au théâtre Gabriel Robinne de Montluçon, le vendredi 27 juin 2008 (avec Madame Lenègre, pour notre classe).
Notre école va rencontrer trois autres établissements élémentaires pour interpréter quelques chansons du répertoire et une chanson commune.

Le départ est prévu de l'école à 10 heures
Arrivée à Montluçon à 10h30 .

Nous déjeunerons sur place et, à cette fin, il faudra prévoir pour votre enfant un repas "tiré du sac" ainsi qu'une boisson.

Dans l'après-midi, un spectacle folklorique sera présenté aux élèves.

Le retour est prévu à 15 heures.
L'arrivée à Néris les Bains vers 15h30.

Cette sortie demeure facultative ; nous vous prions donc de bien vouloir remplir l'autorisation parentale (qui a été remise à votre enfant ce jour) et nous la retourner dans les meilleurs délais.

Etant entièrement en déplacement à Montluçon, notre école ne pourra pas prendre en charge les enfants qui ne participeraient pas à la manifestation.

En vous remerciant,
L'équipe pédagogique.

SEMAINE 35 / jeudi 19juin 2008 (JPP)

- cahier de classe
+ écriture "W-X " 2 lignes

+ copie : "Ton chien est fidèle mais il vaut moins que le mien ; Lucien et Adrien sont deux vauriens."
+ analyse : "[Sur] la colline, se dressent les ruines d'un château."
+ problème : n° 2 page 55

Le verbe est "se dressent".
Qui est-ce qui se dressent ? — les ruines : nom commun de chose, féminin pluriel, sujet inversé du verbe "se dressent"

Les ruines se dressent où ? — [Sur] la colline : nom commun de chose, féminin singulier.

château : nom commun de chose, masculin singulier, complément du nom "ruines"

Nous venons de rencontrer un sujet inversé (identifié sans problème par les élèves) et un nom qui complète un autre nom (jusqu'ici nous n'avions rencontré que des adjectifs qualificatifs).


- calcul mental : Nous revoyons les tables de multiplication x2 à x9.
+ ligne n° 4 : 4
+ 5 + 7 + 4 + 3 + 8 + 2 + 9 + 3 + 5 = 50

Aujourd'hui nous utilisons cette ligne en partant de 50 et en soustrayant successivement de droite à gauche. 50 moins 5 font 45 ; moins 3 font 42 ; moins 9 font 33 ; moins 2 font 31 ; moins 8 font 23 ; moins 3 font 20 ; moins 4 font 16 ; moins 7 font 9 ; moins 5 font 4 ; moins 4 font 0

idem en soustrayant de gauche à droite.
Petit à petit se mettent en place des automatismes qui -s'ils sont entretenus au cours des 3 prochaines années- perdureront toute la vie.


- lecture Cuissart : lecture page 45 "ien"

- orthographe Delile : page 70 "Le futur des verbes ÊTRE et AVOIR". Exercices n°1 et n°2 et n°3 sur le livret.

Nous récitons en choeur (nous remarquons que ces terminaisons sont les mêmes que celles du verbe AVOIR au présent de l'indicatif.)

Je serai - tu seras - il sera - nous serons - vous serez - ils seront

j'aurai - tu auras - il aura - nous aurons - vous aurez - ils auront


- arithmétique : page 55 "34 et 35 soustraction / division
Problème n° 2 ardoise puis cahier de classe

n° 6 page 55 compter de 5 en 5 de 35 à 5
compter de 7 en 7


- vocabulaire :
Hermès. épisode n° 90 "Où les Argonautes échappent aux Sirènes". Les Argonautes tentent toujours de rentrer chez eux. Ils viennent de réussir à échapper aux Sirènes et aux monstres Charybde et Scylla. Mais Jason n'est pas tranquille...



- leçon de chose et d'observation : Le monde à l'envers, lecture/écriture énantiomorphes.
Nous reprenons page 16 une des premières leçons de lecture de notre Delile. Mais cette fois nous tenons le livre... à l'envers.
Nous devons lire de droite à gauche. Le début de la page se situe en bas à droite.
Maintenant nous essayons, sur l'ardoise, d'écrire de droite à gauche, en respectant l'ordre de lecture des lettres (écriture spéculaire). Nous verifions ensuite à l'aide d'un miroir qui nous donne l'image inversée et donc lisible.
Le maître relate les pages miroir de Léonard de Vinci. ainsi que ses inventions.

- lecture Delile : page 74 (Le mouton du petit prince) et page 75 (Pantagruel le bébé géant)

- musique : nous reprenons notre mélodie en clé de sol (l'hiver prend sa revanche). Les notes sont inscrites au tableau et les pulsations sont représentées par un accent. Nous apprenons à battre une mesure à 4 temps.
Rappel : ronde = 4 temps
blanche = 2 temps
noire = 1 temps
croche = 1/2 temps

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TRAVAIL EN FAMILLE

pour vendredi 20 juin 2008 (avec FL)
lecture Cuissart page 45 "ien"
dictée : "Julien aura un bon point."

pour jeudi 26 juin 2008 (avec JPP)
récitation "La ferme enchantée", entière

Les photos de classe sont arrivées. Elle seront distribuées demain par la maîtresse qui a le relevé des commandes.


mardi 17 juin 2008

080617 MESSAGE DES ORGANISATRICES "RUGBY"

Bonjour,
A la fin des Rencontres Ovales, des vêtements d'élèves ont été retrouvés:
- 1 Tee shirt manches longues, jaune et gris, marque "retro sport", taille 8ans
- 1 K.Way bleu foncé, marque "Scott et fox", taille 6 ans.
Nous vous remercions de bien vouloir faire passer l'information au sein de vos classes.

Cordialement,
Delphine Berthuet
Françoise Avédissian

SEMAINE 35 / mardi 17 juin 2008 (JPP)

- cahier de classe
+ écriture "U-V " 2 lignes

+ copie : "Dans 1 an il y a 365 ou 366 jours, 12 mois, 4 saisons. La terre fait un tour complet autour du soleil."
+ analyse : "[À] la piscine, Paul traverse le bassin."

Le verbe est "traverse".
Qui est-ce qui traverse ? — Paul

Paul : nom propre de personne, masculin singulier, sujet du verbe "traverse"

Paul traverse quoi ? — le bassin

bassin : nom commun de chose, masculin singulier, complément d'objet du verbe "traverse"

Paul traverse où ? — [à la] piscine (nom commun de chose, féminin singulier)


- calcul mental : Nous revoyons les tables de multiplication x2 à x9.
+ ligne n° 4 + 4
+ 5 + 7 + 4 + 3 + 8 + 2 + 9 + 3 + 5 = 50


- lecture Cuissart : relecture page 44

- orthographe Delile : page 35 "S pluriel des noms". Exercices n°1 et n°3 sur le livret, n°2 oralement.


- arithmétique : page 55 "34 et 35 soustraction / division
n° 1 au boulier ; n°2 au tableau ; n°3 oralement ; n°4 et n°5 sur le livret


- vocabulaire :
Hermès. épisode n° 88 "Dans lequel Médée sauve les Argonautes". Prise d eterreur et de folie, Médée a tué son demi-frère et jeté les morceaux de son corps dans la mer. Elle a ainsi permis aux Argonautes d'échapper à leurs poursuivants, obligés de s'arrêter pour repêcher le corps.

+ épisode 89 "Où la colère de Zeus éclate". Terriblement en colère à cause du meurtre commis par Médée, Zeus a envoyé une furieuse tempête sur le bateau des Argonautes. Pour se purifier du meurtre, Jason et Médée sont allés voir la magicienne Circé.

+ Exercice oral : cherchez le sujet et l'objet. On repond à l'aide d'une phrase qui reprend les termes de la question.
Le chat lape le lait.
Dans la phrase "Le chat lape le lait.", le sujet est le chien, l'objet est le lait
• Jason dérobe la Toison d'or.
Dans la phrase "Jason dérobe la Toison d'or.", le sujet est Jason, l'objet est la Toison d'or
• et cetera

- composition de fin d'année : 2è partie. Cette composition est proposée par le GRIP aux élèves de cours préparatoires qui ont suivi cette année le programme SLECC.

- géographie : les saisons
Nous avons regardé sur internet une modélisation du système solaire ;
quelques passages de la magnifique animation "TOUS SUR ORBITE".

- récitation : quelques élèves viennent réciter "La ferme enchantée"
+ Nous apprenons notre dernière poésie qui sera chantée à 3 voix.
L'HIVER PREND SA REVANCHE Noël allemand du XVè siècle
L'hiver prend sa revanche,
Méchante est la saison,
La neige toute blanche,
recouvre nos maisons. (bis)


Nous en profiterons pour apprendre à lire une mélodie écrite en clé de sol et à reconnaître la durée des notes (ronde, blanche, noire, croche)

- natation
:
pas de piscine cet après-midi

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TRAVAIL EN FAMILLE

pour jeudi 26 juin 2008 (avec JPP)
récitation "La ferme enchantée", entière

pour jeudi 19 juin 2008 (avec JPP)
lecture Cuissart page 45 "ion"
dictée : "Prenez soin de vous laver les mains."

lundi 16 juin 2008

050615 Natacha Polony, Marianne n° 582

"Marianne" n° 582 du 14 au 20 juin 2008

NOS INSTITUTEURS SONT-ILS ENCORE LES HUSSARDS DE LA REPUBLIQUE ? Par Natacha Polony

Les temps sont loin où l’instituteur remplissait une vraie mission républicaine. Aujourd’hui l’école est en crise. Avec des « professeurs des écoles » en plein désarroi, auxquels on demande tout, trop. Enquête.

Dans les dîners entre amis, Jeanne est une attraction. Chacun lui demande une anecdote, un récit édifiant ou drôle, une petite histoire tragi-comique. Ces enfants de 5 ans qui se lèvent les premiers dans la maison, et arrivent à l'école le ventre creux, ce petit qui ne répond que par des insultes pas vraiment de son âge, tous les problèmes sociaux concentrés dans la vie quotidienne de 20 gamins... Jeanne raconte ses journées de professeur des écoles avec le sentiment attristé de ne pas vraiment parler de son métier mais d'autre chose, d'un monde étrange qui ne ressemble pas à ce qu'elle avait espéré. « Les gens ne se rendent pas compte, regrette-t-elle, ils restent sur des clichés. Nous passons notre temps en vacances. Et bien sûr, en maternelle, je ne fais que de la pâte à modeler:» On sent dans la voix de cette jolie blonde de 28 ans comme de la lassitude ; la tentation du repli sur soi, face à une société qui ne la comprend pas.

Les instituteurs ont été les héros de la IIIe République française, le pilier sur lequel reposait l'édifice social et politique. « Nos jeunes maîtres étaient beaux comme des hussards noirs. Sveltes, sévères, sanglés », les décrit Charles Péguy dans l’Argent, en 1913. L’écrivain faisait allusion à leur mise austère, autant qu'à leur mine pénétrée de leur mission. Le surnom leur est resté. Ils étaient des soldats laïcs et pacifiques, incarnation des valeurs de ce nouveau régime qu'il fallait installer durablement contre l'Eglise et les revanchards monarchistes. Ils jouissaient d'un prestige alors à l'aime de leur devoir : former des hommes libres, les futurs citoyens de la République. Ces temps sont loin. Les instituteurs, devenus depuis des « professeurs des écoles », doutent aujourd'hui que la France les aime encore. Le métier s'est transformé, la société est bouleversée, l'école déstabilisée, et les 364 000 enseignants du primaire cherchent leurs repères. En octobre 2007, un sondage CSA pour le SNUipp, principal syndicat du primaire, interrogeait les professeurs des écoles débutants sur leur perception du métier. Ils étaient alors 82 % à estimer qu'ils exerçaient un métier « plutôt dévalorisé aux yeux de la société». A la question: «Estimez-vous que la réussite de tous les élèves est un objectif qui peut être atteint ou ne petit pas être atteint ? », la réponse était « ne peut pas être atteint » à 62 %. Un malaise palpable.


Mal payés, non reconnus...

Mal payés (un professeur des écoles gagne 1300 € net en début de carrière, et au maximum 2900 € après trente ans d'exercice), en butte à toutes les incivilités comme à l'esprit consumériste qui gagne toutes les strates de la société, les instituteurs sont frappés de plein fouet par tous les maux de l'époque. Ce que Jeanne résume ainsi : « Les parents nous demandent de combler leurs propres lacunes: ils n'ont pas le courage d'apprendre les bonnes manières à leurs enfants ? C'est à nous de les éduquer. Les gamins passent leur journée devant leur console de jeu ?Nous n'avons qu à leur apprendre l'amour des livres. Nous sommes plusieurs à avoir fait un test dans nos classes, auprès d'enfants de tous milieux : 50 % de nos élèves arrivent à l'école le matin en ayant regardé la télévision. Comment voulez-vous que nous en tirions quoi que ce soit ? Comment voulez-vous que nous leur apprenions quoi que ce soit quand leur tête est déjà pleine d'un fatras inutile, mais que les parents croient indispensable pour leur épanouissement : la télé, Internet, le portable... »
Encore la jeune femme ne parle-t-elle pas des menaces des parents quand les résultats sont mauvais; et, pour ses élèves de maternelle, des parents qui exigent de connaître « le programme de mathématiques et de français ». Isabelle, institutrice de CM2, renchérit : « L'enfant roi n'est pas un mythe. Beaucoup de parents laissent leur enfant à la garderie, pour qu'il soit heureux, épanoui, avec plein de bonnes notes. Et s'il ne les obtient pas, nous sommes seuls coupables. »


Du métier à la « mission »

Quand Jules Ferry instaura l'école laïque, obligatoire et gratuite, les Français avaient une confiance aveugle en l'institution, émanation de la nation, et donc du peuple. L’école n'était pas encore un service public garantissant de «faire réussir tous les élèves » comme on fait arriver des trains à l'heure. Et les instituteurs n'étaient pas encore des « professeurs des écoles » pétris de sciences de l'éducation mais des sortes de missionnaires vénérés pour leur savoir autant que pour ce statut de modèle qui les auréolait. Plus instruits que la majorité de la population, ils étaient des références intellectuelles et morales. Et, sans se laisser aller à une quelconque nostalgie, tous ne peuvent que constater combien ce temps est révolu.

A titre individuel, les jeunes professeurs ne veulent pourtant pas sombrer dans une quelconque déprime. « Le quotidien est difficile, argumente Thomas, en poste depuis cinq ans dans une école élémentaire parisienne mais je ne connais personne qui dise regretter son choix. Nous sommes fiers de notre métier.» Paradoxe ? En fait même si la consultation CSA montre que les professeurs des écoles qui envisagent de changer de métier sont passés de 8 à 15 % entre 2001 et 2007, nombreux sont ceux qui ont choisi ce métier de longue date, comme on choisit un mode de vie. Qu'ils appellent cela « mission » « vocation » ou qu'ils refusent ces mots qui fleurent bon l'esprit de sacrifice, les instituteurs font un métier qu’ils savent un peu à part, ne serait-ce que par son histoire qui est indissolublement liée à celle IIIe la République. Certains l'acceptent, s'en font un étendard, d'autres le refusent au nom de la « professionnalisation ». Mais à travers ce clivage se dessine l’avenir de notre système scolaire, et les choix qui seront faits pour l'éducation de nos enfants.

Ariane est sortie de l'institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) il y a trois ans. « Je me sens très seule dans mon école. Explique-t-elle. Je ne me reconnais absolument pas dans les pratiques de mes collègues, dans leur façon de concevoir leur mission. Car pour moi il s'agit d'une mission. Je suis une des rares qui n'ait pas peur de se proclamer hussard noir (ça fait ringard, je sais, ça fait austère, mais pour moi, cela signifie simplement que j'ai un devoir vis-à-vis de tous ces enfants dont je croiserai la route. »

Ariane aime se dire institutrice et non pas professeur des écoles, et il y a là comme l'affirmation d'une certaine conception du métier. Rachel Boutonnet, qui publia son Journal d'une institutrice clandestine puis un ouvrage intitulé « Pourquoi et comment j'enseigne le b.a.- ba » le résume en des mots qui n'ont rien de polémiques, mais qui semblent relever pour elle de l'évidence. Etre institutrice, dit-elle avec humilité, sans volonté militante, c'est tout simplement une façon d'être bien. Je suis avec les enfants et je me considère comme un rouage dans le processus de liberté. Cela n’a l’air de rien, mais l'enjeu du CP est de savoir si, plus tard il y aura lecture de Balzac ou pas. »


Système en faillite

Balzac ou pas, l'émancipation ou l'enfermement dans les déterminismes culturels et sociaux, la civilisation ou le temps de cerveau disponible pour Coca-Cola. Pas un instituteur qui n'ait plus ou moins conscience de cela. Alors comment supporter l'échec du système ? Comment supporter ces 150 000 élèves quittant le collège sans diplôme? Comment supporter d'assumer une responsabilité qui est aussi écrasante que diffuse, et qui est avant tout celle du système? Jusqu'à présent les instituteurs étaient comme épargnés. Le « maillon faible » était le collège, avec sa violence, ses élèves rejetant l'école et ses savoirs... En 1999 déjà, le rapport Forestier parlait de 15 % d'élèves en grande difficulté à l'entrée en sixième, mais le propos était tellement inacceptable qu'il était passé inaperçu. Les enfants chéris du mitterrandisme restaient auréolés de cette gloire progressiste qui avait fait d'eux l'incarnation du peuple de gauche. Pourtant, peu à peu, l'icône se fissurait. 1999 est l'année de la parution de "L'enseignement de l'ignorance et ses conditions modernes" petit livre de Jean-Claude Michéa qui dénonçait magistralement la faillite du système. De nombreux autres allaient suivre. Fleurissaient des associations comme Reconstruire l'école, dans laquelle se retrouvaient des instituteurs qui entendaient remettre en cause les orientations suivies depuis trente ans. Plus grave, les résultats des élèves français dans les comparaisons internationales se dégradaient un peu plus chaque année.

L'idée que le primaire va mal ne s'est imposée que récemment, parce que des instituteurs et des parents d'élèves sont sortis de la dénégation. Mais au prix d'un rejet de la part de nombre d'autres professeurs. « Ceux qui refusent toute remise en cause ne sont pas plus bêtes ou plus hypocrites, commente pourtant Ariane, mais ils amalgament ces critiques de l'Education nationale avec toutes les difficultés qu'ils rencontrent au quotidien. Le problème, c'est que tout débat devient impossible au sein de la profession. » De fait, les noms d'oiseaux surgissent vite quand on évoque l'état de l'école. Pourquoi les professeurs se sentent-ils attaqués par toute critique du système scolaire? Pourquoi sont-ils incapables de se détacher d'une institution qui est pourtant si souvent mauvaise mère ? « Si l'on a choisi ce métier, analyse Rachel Boutonnet, c'est parce qu'on aime l'institution, et le fait qu'il y ait des institutions. Alors il est très compliqué, très douloureux, d'être à la fois dedans et en opposition. Beaucoup ne le supportent pas et préfèrent suivre la ligne dominante. » Quitte à se retrouver en porte-à-faux. « Les instituteurs sont souvent schizophrènes, raconte par exemple Agnès, qui enseigne à Lyon. J'ai entendu un collègue critiquer l'instituteur de sa fille parce qu'il lui donnait un exercice aberrant, et faire faire cet exercice à ses élèves quelques jours plus tard. »



De la politique des méthodes...

Le monde enseignant, et notamment celui du primaire, est traversé par de profonds clivages, mais ils sont rarement explicités. Ils apparaissent à l'occasion de telle ou telle réforme, sans que le grand public en perçoive forcément les enjeux. Qui, dans la population française, comprend quelque chose à ce débat sur les méthodes ? La refonte des programmes entamée par Xavier Darcos incarne parfaitement ce genre de cas où l'opinion court le risque de ne percevoir qu'une obscure querelle d'experts. D'autant que le développement des sciences de l'éducation à partir des années 70 avait justement pour fin de rejeter dans l'ignorance et l'incompétence ceux qui se réclamaient du « bon sens». L'onction populaire suffisant ainsi à marquer une réforme du sceau de l'infamie, ici incarnée par le « populisme ».

Geneviève n'est pas une militante. Mais elle croit fermement aux bienfaits d'une pédagogie fondée sur le travail en petits groupes, les « situations-problèmes». Pour elle, les nouveaux programmes constituent « une régression totale». « Ils veillent retourner à l'école de 1925, s'insurge-t-elle. Cela revient à nier tout le travail des sciences de l'éducation. On ne peut quand même pas enseigner comme il y a cinquante ans ! C'est le retour du bonnet d'âne et du rabâchage par cœur. » Geneviève est représentative de nombre de professeurs des écoles qui considèrent qu'un texte évoquant l'« entraînement » et la « répétition » exclut forcément la compréhension des élèves. Mais le corps enseignant est plus partagé qu'il ne semble. Élise enseigne depuis un an dans un village de la Somme. Elle se décrit comme une institutrice épanouie, «pas du tout hussard noir juste quelqu'un qui veut être utile». Dans son école, la jeune femme a découvert des méthodes d'enseignement qui n'ont rien à voir avec ce qu'elle avait appris, et des instituteurs qui vont au-delà de ce que tente le ministre. « Les médias montrent toujours le même type d'enseignants, regrette Élise, avec de grands projets, uni autour du journal d'école, adeptes du travail par petits groupes... C'est télégénique, mais l'école ne ressemble pas à ça. Même si c'est ce qu'on nous demande à l'IUFM. Pis, à la télévision, on ne présente que les instits qui sont contre la réforme. Ils ne sont pas représentatifs, même s'ils font plus de bruit que les autres. »

Alain Bentolila, linguiste et auteur de récents rapports sur la grammaire et l'orthographe, voit dans cette querelle le résultat d'une politisation dramatique de la question scolaire. « Il faut sortir de l'idéologie, plaide-t-il. Les méthodes ne sont pas de gauche ou de droite. Elles marchent ou elles ne marchent pas. » Pour lui, le débat sur les méthodes et les programmes, qui mine la cohésion du corps des instituteurs et professeurs des écoles, est arrivé en France dans les années 70, et ne faisait à l'époque que reprendre un débat entamé aux États-Unis, dans la mouvance « pour une société sans école ». Il relevait d'une interprétation politique de la fonction de reproduction de l'école et partait du principe que l'école oblige les fils d'ouvriers à déchiffrer et n'apprend à comprendre qu'aux enfants de bourgeois. Ainsi sont nées les méthodes idéo-visuelles, censées être «plus démocratiques» que la méthode syllabique. « En fait, explique le linguiste, ces méthodes cassent les plus fragiles, et ne fonctionnent que pour les élèves qui ont déjà une bonne perception d u code alphabétique. La cause de l'échec avec la méthode syllabique n'est pas à chercher dans une volonté de domination de la classe bourgeoise, mais dans le fait que nombre d'élèves arrivent au CP en possédant peu de vocabulaire. Ceux-là, en effet, auront beau déchiffrer, ils ne comprendront pas ce qu'ils lisent puisque le son ne correspondra pas à un mot dont le sens est connu. » Rien là de politique. D'où l'étonnement d'Alain Bentolila, qui a toujours affiché sa conception républicaine, lorsque ses propos l'ont fait traiter de réactionnaire, et même de fasciste.

Car le même processus est à l'oeuvre dans les débats qui touchent à l'enseignement de la grammaire ou à l'usage de la répétition et du par coeur. « Jusqu'à une époque récente, raconte Rachel Boutonnet, quiconque faisait le choix d'un enseignement structuré progressif, présentant d'abord les éléments d'un système, était hors du courant dominant, et même hors programmes puisque ceux-ci imposaient une démarche précise à travers l'organisation en projets. » Les nouveaux programmes du primaire, qui ne définissent pas de méthode mais insistent sur les vertus de l'« entraînement » présenté comme aussi important que l’expérimentation, rencontrent une opposition farouche de la part des tenants du constructivisme, pour qui toute forme de répétition condamne l'élève à la passivité. « Prétendre qu'il n'est de pédagogie que de la découverte est une aberration, regrette Alain Bentolila. J'ai déjà rencontré des instituteurs soutenant que l'enfant doit découvrir par lui-même le sens de l'écriture, de gauche à droite, sous prétexte que tout apprentissage est une résolution de problème. Mais il est des éléments dont on doit accepter l'arbitraire, et la langue, par exemple, en est pleine. » Confondre l'arbitraire linguistique et l'arbitraire politique dans une même dénonciation est un contresens fréquent dans l'Éducation nationale. De même que confondre la pénibilité du travail de l'ouvrier avec la pénibilité du travail de l'écolier. Pourtant, il est des labeurs de servage et des labeurs de délivrance. L’idéal de la gauche républicaine a toujours consisté à distinguer les deux.



Un rôle toujours fondamental

Plus que jamais, les instituteurs et professeurs des écoles jouent un rôle fondamental dans le processus d'émancipation des futurs citoyens. Alors que la société de consommation et l'attrait des écrans accentuent les inégalités culturelles, alors que la maîtrise de la langue et, au-delà, l'accès à l'écrit sont rendus plus difficiles par la dévalorisation du savoir, c'est bien à l'école maternelle et primaire que se joue l'avenir. Mais la manifestation du 15 mai l'a prouvé : les enseignants, face à ce qu'ils ressentent comme un désintérêt, voire une hostilité, de la société, développent des réactions contradictoires. Pris entre leur envie d'affirmer la grandeur de leur métier et le refus d'assumer les échecs du système, qu'ils préfèrent attribuer aux inégalités sociales et à des causes externes, laissant croire ainsi qu'il n’ est pas de pou­voir émancipateur du savoir, ils courent le risque de dévaloriser eux-mêmes l'école en clamant son impuissance.

Qui croit en l'homme croit en un rôle majeur de l'éducation. Le reste doit être dicté par le pragmatisme et l'évaluation des résultats. Mais sans doute faut-il retrouver un peu de la force de ce pacte moral qui s'était noué il y a un peu plus d'un siècle entre la nation et ses institu­teurs. Retrouver aussi les conditions de la confiance
• N.P

À lire : "L'enseignement de l’ignorance et ses conditions modernes" de Jean-Claude Michéa
Ed. Microclimat 1999


SEMAINE 35 / lundi 16 juin 2008 (JPP)

- cahier de classe
+ écrit
ure "S-T " 2 lignes

+ dictée : "Epargnez votre temps !"
+ copie : "Cependant Mémé vieille est apparue, tenant l'interminable tricot qui ne la quitte jamais. On dirait que ses doigts marchent seuls, comme dix petites mécaniques agiles et infatigables."
+ analyse : "Marcel fera ses devoirs."

Le verbe est "fera".
Qui est-ce qui fera ses devoirs ? — Marcel

Marcel : nom propre de personne, masculin singulier, sujet du verbe "fera"

Marcel fera quoi ? — ses devoirs

devoirs : nom commun de chose, masculin pluriel, complément d'objet du verbe "fera"

ses : adjectif (possessif) qui accompagne le nom devoir.

LA FONCTION DES MOTS
Nous venons de voir une deuxième fonction possible pour le nom : le complément d'objet.

• La phrase la plus dépouillée se compose d'un sujet, d'un verbe et d'un complément.

La fonction d'un mot se définit par une question qu'on pose au verbe :

qui est-ce qui ? pour le sujet du verbe
qui ? ou quoi ? pour le complément d'objet du verbe.

• Les compléments du verbe peuvent être directs, indirects ou de circonstance.

Voir plus loin l'exercice de vocabulaire pour expliquer ce qu'est le sujet, ce qu'est l'objet.


- calcul mental : Nous revoyons les tables de multiplication x2 à x9.
+ ligne n° 4 + 4
+ 5 + 7 + 4 + 3 + 8 + 2 + 9 + 3 + 5 = 50


- lecture Cuissart : page 44 entière + n° 2 en dictées de mots sur l'ardoise


- vocabulaire :
Hermès. épisode n° 87 "Où l'on voit que les rois ne tiennent pas toujours parole". Médée a prévenu Jason que le roi son père allait les attaquer. Elle a réussi à envoûter le dragon gardien de la Toison d'or pour que Jason puisse l'emporter.

+ Exercice oral : cherchez le sujet et l'objet. On repond à l'aide d'une phrase qui reprend les termes de la question.
Le loup dévore l'agneau.
Dans la phrase "Le loup dévore l'agneau.", le sujet est le loup, l'objet est l'agneau
• Tom dévale l'escalier.
Dans la phrase "Tom dévale l'escalier.", le sujet est Tom, l'objet est l'escalier
• et cetera

- composition de fin d'année : 1è partie. Cette composition est proposée par le GRIP aux élèves de cours préparatoires qui ont suivi cette année le programme SLECC.

- sport : pas de sport cet après-midi

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TRAVAIL EN FAMILLE

pour mardi 17 juin 2008 (avec JPP)
lecture Cuissart page 44 "ez-é"
calcul : revoir la table des multiplications, particulièrement X2 et X5

PAS DE NATATION DEMAIN MARDI

vendredi 13 juin 2008

080613 USAGE (ET ABUS) DE L'EXERCICE DE COPIE

Les copies jouent un grand rôle dans l'enseignement primaire. Il n'y a même pas longtemps qu'on fait autre chose que des copies dans les écoles. On copie moins depuis que le maître parle davantage. Mais on copie encore, et on copiera toujours beaucoup, au début de l'enseignement. Faut-il le regretter, faut-il viser à la suppression totale de la copie? Nous ne le croyons pas. Nous approuvons au contraire cet exercice, mais à une condition, c'est que la copie soit tout à la fois un exercice d'écriture, de lecture, d'orthographe, de récitation même au besoin, et que toujours il ait pour résultat de meubler l'intelligence des enfants de faits et de connaissances à leur portée. Voilà un lourd programme pour un exercice en apparence si modeste. Nous nous expliquons.

Dès qu'un enfant commence à tenir une plume et qu'il cherche à imiter tant bien que mal une lettre, une syllabe, un mot, une phrase, il est essentiel qu'il sache quelle lettre il fait, quel mot il écrit, quelle phrase il reproduit. Il faut que ce qu'il trace soit pour lui autre chose que des traits, il faut en un mot que l'enfant puisse lire son écriture. Ce n'est qu'à cette condition seule que les premiers exercices de copie seront fructueux.

Quand les enfants commencent à lire couramment les histoires de leur premier livre, ils doivent être déjà exercés à l'écriture. Si, à mesure qu'ils ont parcouru les cahiers de leur méthode, le maître a eu soin d'agir comme il vient d'être dit, ils doivent savoir lire l'écriture lisible, à peu près comme ils savent lire le livre. Alors, il est bon de leur faire copier avec soin quelques phrases, une courte leçon déjà lue, expliquée et comprise. La leçon de lecture suivante, au lieu d'avoir lieu sur le livre, sera donnée au moyen des copies. Chaque enfant lira son travail. Puis tous les enfants d'une même division, échangeant leurs cahiers, liront la copie de leurs camarades, de telle sorte qu'ils auront eu une leçon de lecture sur les manuscrits.

Si le maître appelle l'attention des élèves sur la manière d'écrire certains mots, sur leur signification, sur les fautes commises dans le devoir, il peut faire servir le simple exercice de copie à une leçon de révision, en faire un véritable devoir d'orthographe d'usage. Que le maître écrive au tableau noir quelques vers d'un morceau de poésie, qu'il les explique, qu'il en exige une copie nette, exacte, et il aura encore fourni à ses élèves la matière d'une leçon de récitation, d'un exercice de mémoire. Les copies, on le voit, bien surveillées, corrigées, expliquées, peuvent fournir les éléments de tout un enseignement pour les petites classes. Et ce serait bien à tort qu'on croirait, en les proscrivant, réaliser un progrès, surtout dans les écoles à classe unique, où le maître n'a pas d'autre expédient pour utiliser toujours, quoique diversement, le temps de tous les élèves. Ce qu'il faut blâmer et arrêter impitoyablement, c'est l'abus de la copie inintelligente, machinale et monotone. Dans quelques écoles, heureusement de plus en plus rares, on retrouve encore des cahiers entiers remplis par des copies que le maître n'a jamais vues. C'est tout le fruit qui reste de longues heures pendant lesquelles les enfants n'ont pas employé, mais tout simplement perdu, leur temps à griffonner au hasard, sans soin comme sans intérêt de leur part ni de la part du maître. C'est ce qu'on appelait faire des pages, c'est-à-dire ne rien faire : le seul but de la copie et sa seule raison d'être a été de laisser au maître quelques instants de répit en donnant aux élèves un semblant d'occupation. Mieux eût valu les envoyer jouer dans la cour.

L'exercice de la copie n'est bon dans une classe que s'il y est aussi méthodiquement réglé que les autres exercices scolaires, s'il a son heure et son programme comme les autres, s'il a sa marche graduée, s'il est précédé des explications et suivi des corrections qui donnent du prix à tout travail de classe, s'il ne tombe jamais ni au rang de remplissage dans les moments perdus, ni à celui de pensum avoué ou déguisé.

Savoir bien copier, c'est tout ensemble savoir bien lire et bien écrire ; c'est savoir aussi bien voir, bien retenir, bien fixer son attention et bien comprendre ce qu'on fait. Ne savoir que copier et n'apprendre en copiant qu'à copier, c'est ne se préparer qu'aux emplois les plus restreints, c'est rétrécir et paralyser en soi-même pour l'avenir l'esprit d'initiative, de jugement, de raisonnement. Que nos élèves d'école primaire soient donc d'habiles copistes, il le faut, mais qu'ils le soient en quelque sorte par surcroît, et sans avoir payé cet apprentissage ni par une trop grande dépense de temps, ni surtout par le sacrifice d'aptitudes supérieures.

Semaine 34 / vendredi 13 juin (FL)

-lecture Cuissart : révision page 43 + lecture page 44.

-lecture Roussel : lecture pages 48 et 49.
+jeu de lecture.

-cahier de classe :

+écriture : "P-Q"

+copie : Suzette s'enfuit en courant vers la cuisine et revient bientôt avec un paquet de bonbons.

+calcul :
44+37=81
34-7=27
42X2=84

+analyse

-grammaire / analyse : "Pierre habite une maison spacieuse". Le verbe est "habite". Le sujet "Pierre" (nom propre sujet du verbe habite). Pierre habite quoi ? une maison spacieuse (une: article; maison : nom commun, singulier, féminin; spacieuse : adjectif)

-vocabulaire : lecture d'Hermès, épisode 86.

-Fichier de mathématiques : page 134, mesurer une masse avec une unité arbitraire.

-observation / dessin : nous avons dessiné nos lentilles germées.

Devoirs pour lundi 16 juin (JPP)

-lecture Cuissart pages 43 et 44.

-dictée : épargnez votre temps.

Bon week-end à tous.

jeudi 12 juin 2008

SEMAINE 34 / jeudi 12 juin 2008 (JPP)

- cahier de classe
+ frise
+ écrit
ure "N-O " 2 lignes

+ dictée : "Le buffet est vitré."

+ analyse : "Le chat grimpe aux arbres."

Le verbe est "grimpe".
Qui est-ce qui grimpe ? — le chat : nom commun d'animal, masculin singulier, sujet du verbe grimpe.

+ calcul : nous apprenons à rédiger un problème n°1 page 54.
"Une pièce d'étoffe a 14 mètres ; une seconde pièce a 6 mètres de plus. Quelle est la longueur totale des deux pièces."

Nous traçons un trait vertical pour faire 2 colonnes (solution = 10 carreaux ; opérations = 5 carreaux)



- arithmétique : Nous revoyons les tables de multiplication x2 à x9.
n° 4 page 54 (ardoise + tableau noir)
7 x 5 =
16 x 2 =
17 x 2 =


- lecture Cuissart : page 43 entière


- calcul mental : ligne de calcul n°4


- vocabulaire :
Hermès. épisode n° 85 "Dans lequel Jason rencontre Médée". Médée est venue en secret offrir son aide à Jason. Elle lui a fabriqué une pommade magique qui devrait le rendre invincible.

- rugby : au stade de Commentry. Rencontre avec les écoles de Néris, Doyet, Saint-Angel, Larequille, La Celle, ... Tout s'est très bien passé pour notre classe. Photos à venir dans le we.

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TRAVAIL EN FAMILLE

pour vendredi 13 juin 2008 (avec FL)
pas de devoir à faire.

12 juin 2008 spectacle au théâtre

Rendez-vous devant le théâtre de Néris à 18 heures.
Le spectacle commence à 18h15

mercredi 11 juin 2008

SEMAINE 34 / mercredi 11 juin 2008 (JPP)

- cahier de classe (nous passons au stylo à bille)
+ frise
+ écrit
ure "K-L " 2 lignes

+ dictée :
"Frédi vous êtes un ignorant."
+ analyse : "Le rat mangea le blé."
le verbe est "mangea". Qui est ce qui mangea ? — c'est le rat (nom commun d'animal, masculin singulier). Le rat mangea quoi ? — le blé (nom commun de chose, masculin singulier).

Nous introduisons pour la première fois la notion de fonction d'un mot dans la phrase.
Nous établissons un parallèle entre les mots et les enfants. Ils sont garçon ou fille, c'est leur nature ; ils sont tour à tour enfant, élève, client, patient, ami, ... c'est leur fonction dans la société. La nature est immuable, la fonction se compose au gré des associations et des rencontres. Il en est de même pour les m
ots.
Grâce au système de représentation arborescente (que nous pratiquons chaque jour depuis janvier), les élèves maîtrisent bien la nature des mots. Ils découvrent maintenant comme une évidence leur fonction.

Chaque mot se définit par une question qu'on pose au verbe :
qui est-ce qui ? pour le sujet

Le mot qui répond à la question "qui est-ce qui ?" a une fonction dans la phrase : il est sujet du verbe.

RAT : nom commun d'animal, masculin singulier, sujet du verbe "mangea".


- arithmétique : Nous revoyons les tables de multiplication x 2 à x 9. Récitation en chœur, récitation individuelle, questions/réponses orales du style
"combien de fois 8 en 72 ? — en 72 il y a 9 fois 8"
"
En 25 combien de fois 4 ? — en 25 il y a 6 fois 4 et il reste 1" ...


- lecture Cuissart : page 43


- calcul mental : ligne de calcul n°4


- récitation :

Voici notre comptine du mois de juin, à réciter par cœur avec le diaporama.

LA FERME ENCHANTÉE


Voici la maison que Jacques a bâtie.

Voici le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici la servante esseulée qui a trait la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le vagabond qui devint l'ami de la servante esseulée qui a trait la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le bon Père qui recueilli le vagabond qui devint l'ami de la servante esseulée qui a trait la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le coq qui réveilla le bon Père qui recueilli le vagabond qui devint l'ami de la servante esseulée qui a trait la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le fermier semant son grain chez qui vivait le coq qui réveilla le bon Père qui recueilli le vagabond qui devint l'ami de la servante esseulée qui a trait la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Voici le cheval et le chien et la corne qui appartenaient au fermier semant son grain chez qui vivait le coq qui réveilla le bon Père qui recueilli le vagabond qui devint l'ami de la servante esseulée qui a trait la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie.

Édition des deux coqs d'or - 1972


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TRAVAIL EN FAMILLE

pour jeudi 12 juin 2008 (avec JPP)
- lecture Cuissart, page 43
- dictée : "Le buffet est vitré."
- calcul : ligne de calcul mental n° 4
(4 + 7 + 5 + 4 + 3 + ... = 50)

Rugby : selon la météo du jour, les organisateurs nous confirmeront jeudi matin si la rencontre sportive a lieu ou si elle est annulée.

pour mardi 17 juin 2008 (avec JPP)
- récitation "La ferme enchantée" jusqu'à
"Voici la servante esseulée qui a trait la vache à la corne tordue qui fit peur au chien qui mordit le chat qui tua le rat qui mangea le blé caché dans la maison que Jacques a bâtie." inclu.